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Portrait
Selon Michel Charvert
Lorsque l’on me demanda de dresser le portrait d’Huguette en vu de son intronisation au sein de cette noble confrérie.
J’avoue avoir paniquer….. Et dieu sait si pas niquer est dramatique. La tâche me semblait si ardue , que je ne voyais pas trop comment l’aborder. Devais-je parler de son enfance insouciante passer dans les verts pâturages du petit village de Dauendorf.
J’avoue avoir paniquer….. Et dieu sait si pas niquer est dramatique. La tâche me semblait si ardue , que je ne voyais pas trop comment l’aborder. Devais-je parler de son enfance insouciante passer dans les verts pâturages du petit village de Dauendorf.
De son adolescence studieuse, découvrant les choses de la vie avec ses amis Heidi, Candy, et autres club des cinq. Somme toute devais-je aborder a l’instar de certains peoples… Sa vie privée. A bien y penser, je me suis dit que finalement cela ne nous regardait pas. Dès lors, devais-je parler de son passage à l’éducation nationale, où durant de longues années, elle tenta d’inculquer la langue de Goethe à cette belle jeunesse alsacienne, préparant ainsi avec toute la conscience professionnelle qui lui sied l’intégration de cette dernière sur les chaînes de montage de Bosch ou de Mercedes, participant ainsi indirectement au développement économique de nos voisins d’Outre-Rhin.
Mais là aussi, je me dis que cela n’avait que peu d’intérêt. Cependant. N’est ce point ce premier contact avec ce juvénile public qui déclencha en elle sa fibre artistique ?
On peut se poser la question… Pourquoi ,décida t-elle un jour de se mettre en réserve de la république afin de devenir une femme publique et passer de l’étude de la Walkyrie à la servitude de la Choucrouterie ?
Là encore, je vous laisse à vos propres interrogations. Mais il est un fait acquis qu’à l’instar d’un Zidane ou d’un Tony Parker dans leurs clubs respectifs, le passage d’Huguette au sein du célèbre cabaret strasbourgeois contribua grandement à la pérennité de ce dernier.
Elle y fit ses gammes, créant son personnage et peaufinant son style.
Mais bien vite, la notoriété aidant, elle se retrouva trop à l’étroit sur la petite scène intimiste et décida de prendre son destin en main en créant sa propre maison de production. Dés lors les spectacles se succédèrent et le succès ne se démentit jamais, dépassant les seules frontières de la région. Son aura s’étalant bien au-delà de l’hexagone.
Aujourd’hui, reconnue de tous et adulée, elle remplit les salles et fait déplacer les foules
Saltimbanque, écrivain, chroniqueuse, presse écrite, télévision D’aucun diront qu’elle en fait beaucoup, peut-être trop. Huguette dreikaus fait rire les téléspectateurs de France 3 Alsace depuis 1995. Mais à tous ces empêcheurs de tourner en rond je ne puis m’empêcher de répondre en citant la célèbre maxime du Père Dodu « Ce n’est pas à une vielle poule qu’on apprend à caqueter »
Alors aujourd’hui, devant ce parterre d’invités Je suis heureux de te souhaiter la bienvenue au sein de la très noble confrérie de la poule au pot et du coq au riesling.
Michel CHARVET
Mais là aussi, je me dis que cela n’avait que peu d’intérêt. Cependant. N’est ce point ce premier contact avec ce juvénile public qui déclencha en elle sa fibre artistique ?
On peut se poser la question… Pourquoi ,décida t-elle un jour de se mettre en réserve de la république afin de devenir une femme publique et passer de l’étude de la Walkyrie à la servitude de la Choucrouterie ?
Là encore, je vous laisse à vos propres interrogations. Mais il est un fait acquis qu’à l’instar d’un Zidane ou d’un Tony Parker dans leurs clubs respectifs, le passage d’Huguette au sein du célèbre cabaret strasbourgeois contribua grandement à la pérennité de ce dernier.
Elle y fit ses gammes, créant son personnage et peaufinant son style.
Mais bien vite, la notoriété aidant, elle se retrouva trop à l’étroit sur la petite scène intimiste et décida de prendre son destin en main en créant sa propre maison de production. Dés lors les spectacles se succédèrent et le succès ne se démentit jamais, dépassant les seules frontières de la région. Son aura s’étalant bien au-delà de l’hexagone.
Aujourd’hui, reconnue de tous et adulée, elle remplit les salles et fait déplacer les foules
Saltimbanque, écrivain, chroniqueuse, presse écrite, télévision D’aucun diront qu’elle en fait beaucoup, peut-être trop. Huguette dreikaus fait rire les téléspectateurs de France 3 Alsace depuis 1995. Mais à tous ces empêcheurs de tourner en rond je ne puis m’empêcher de répondre en citant la célèbre maxime du Père Dodu « Ce n’est pas à une vielle poule qu’on apprend à caqueter »
Alors aujourd’hui, devant ce parterre d’invités Je suis heureux de te souhaiter la bienvenue au sein de la très noble confrérie de la poule au pot et du coq au riesling.
Michel CHARVET